La coube de tes yeux
Il y a 3 quintiles :
-La première strophe est hétérométrique avec 3 alexandrins, 1 octosyllabe, 1 décasyllabe.
-Les 2 autres strophes sont homométrique avec des décasyllabe.
Les vers sont paires (classique), ce sont des mètres long, on va de l’irrégulier au régulier.
Sur les 2 premier quintiles on a à chaque fois 2 rimes plates et 1 vers isolée.
Sur la 3eme strophe rimes défectueuses
Les rimes vont du régulier à l’irrégulier.
L’organisation des vers est l’inverse de la rime. Cela forme une espèce de mouvement circulaire qui rappelle le mouvement de l’œil
Il y a un chiasme v1/v15, cela donne une phrase qui a du sens tes yeux mon cœur v. 1 mon sang leurs regards v. 15
La femme entour/embrigadé l’homme, ils sont liée. L’homme voit le monde qu’a travers le femme.
Paul Eluard dit qu’il a besoin d’elle pour comprendre le monde, sans elle, il ne le comprend pas.
I- Le regard de l’homme sur la femme :
a) L’image symbolique sur la femme :
- Réseau lexical de la forme de l’œil : courbe, tour, rond, auréole, berceau.
- Chiasme v.1 et 15 : le regard = la femme alors que le cœur = l’homme et c’est le cœur qui est contenu dans le regard
- La femme contient le monde (= vision sur l’extérieur) et le cœur (= vision de l’intérieur / pour se confier, se rassurer, demander conseil)
b) L’image valorisante de la femme :
- Accumulation des métaphores 2è strophe : 8 métaphores valorisantes avec un réseau lexical positif. Il donne une image d’une femme protectrice, apaisante, et rassurant.
« Feuilles de jour » : on a dans feuille la forme, la fragilité, la couleur de l’œil ; de jour signifie la vie, le jour, la lumière.
« Mousse de rosée » : la mousse c’est doux, frais, moelleux, agréable, confortable ; de rosée fait penser aux gouttelettes, au début de jour, le réveil. C’est humide comme les larmes de l’œil, fait penser à la