La cour du lion
A) Structure simple : 3 comportement de courtisans
• vers 1-13 : présentation de la cour : cadre temporel nettement délimité par les valeur de passé « voulut » « manda »
• vers 14-32 : dans ce mouvement le récit voit s'installer une triple intervention ( ours v16-19 , singe v20-27, renard v28-32) où intervient le procédé de l'emploi du discours.
• Ces mouvement sont relier par la versification : ours/singe par « irrité » « dégouté » « sévérité » vers 33-36 : moralité explicite. On passe du récit au discourt du fabuliste
• Le passage de la morale se présente comme un élément conclus « ceci » = cet exemple
→ ainsi le conseil est universel. La morale est isolée du récit par un blanc typographique ce qui valorise tout comme sa structure en quatrain.
B) Procédés d'animation rendent le récit vivant
• Le rythme est en adéquation avec l'idée et tient le lecteur en éveil
• Les octosyllabes donnent un rythme plus rapide et soutienne l'intérêt du lecteur.
• LF se sert aussi de la longueur des vers pour différencier récit et commentaire: v25, récit en alexandrin / v 26-27 commentaire ironique et octosyllabe
• Le dernier rejet « sans odorat » met en évidence la bonne solution : il ne faut pas avoir de pensée personnelle , il faut voir et sentir ce que le monarque veut que l'on voie et sente
• vers 20et 30 : discourt narrativisé permet de gagné en efficacité et en concision : « le singe approuva fort cette sévérité » « l'autre aussitôt de s'excuser »
• vers 23-24 : discourt indirecte libre fait entendre le discourt du singe qui ce mêle a celui du narrateur
C)La dimension parodique : pose un voile littéraire sur une critique véritable
• Grâce à tout un systéme de référence hétéroclites, la fabuliste parvient à rendre insituable la cour du lion grand nombre de procédé de distanciation comme « jour » « vassaux » « circulaire écriture » qui sont des termes parodiant d'anciens édit royaux
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