Valérie SEXTIER

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DEVOIR DE TYPE ARGUMENTATIF N° 1

PREMIER TEXTE

QUESTION N° 1 :

Dans le premier paragraphe, Balzac nous informe du changement de la valeur vestimentaire entre l’ancien régime et le XIXe siècle. Sous l’ancien régime, le vêtement révélait la classe sociale, au XIXe siècle l’habit ne distingue plus la condition sociale.

Dans le second paragraphe, l’auteur fournit des arguments justifiant la valeur de l’homme par la cravate : « Tant vaut l’homme, tant vaut la cravate ». « C’est par elle que l’homme se révèle et se manifeste ».

Dans le troisième paragraphe, il tente de nous convaincre que la cravate ne vit qu’à travers son authenticité, sa simplicité et qu’elle cessera d’exister à partir du jour où celle-ci sera contrainte à des obligations, ou à des règles générales : « imitation, l’assujettissement aux règles la décolorent, la glacent, la tuent ».

QUESTION N° 2 :

La thèse : La cravate ne vit que d’originalité et de naïveté.

QUESTION N° 3 :

« La cravate devient le critérium auquel on reconnaitrait l’homme comme il faut et l’homme sans éducation».

Reformulation :

La cravate deviendrait l’élément sur lequel on jugerait l’éducation de l’homme.

« Tant vaut la cravate, tant vaut l’homme ».

Reformulation :

La valeur de la cravate donne une idée de la valeur de l’homme.

« La cravate ne vit que d’originalité et de naïveté ».

Reformulation :

L’essence de la cravate n’est que sa singularité, son authenticité.

QUESTION N° 4 :

Le pronom « je » dans la phrase : « Aussi, j’ose le dire avec toute la force de la conviction » est un indice du locuteur, de valeur : je.

« Toute la force de la conviction » est un modalisateur de certitude.

«Originalité, naïveté, la décolorent, la glacent, la tuent, spontanément, d’instinct, d’inspiration, sentent, s’admirent, romantique, essence » sont des termes évaluatifs

DEUXIEME TEXTE

QUESTION N° 1 :

La thèse se trouve dans le dernier paragraphe