CUCCA HANNAH
TL1

DM de Philosophie

En tant que phénomènes matériels et idéologiques qui caractérise une groupe par opposition a un autre mais aussi en tant qu'ensemble de connaissances et de techniques, la culture élève l’homme au-dessus de la condition animale. L’homme modifie la nature, se modifie lui-même et crée les conditions d’une réflexion sur son existence qui se perpétue de génération en génération( avec la mémoire et la tradition).
Mais d’un autre côté la culture en général n’existe pas dors et déjà . Elle se développe toujours au travers d'un mode de vie, d'une langue, de normes et valeurs ( différentes parfois entre groupes ethniques, entre civilisations, entre nations).
Or dans une culture, il n’y a pas que des connaissances qui élèvent notre vie. Il y a aussi des préjugés, des interdits et des violences faites aux individus. L’homme veut alors parfois se libérer de sa culture et des limites qu’elle représente.
Nous nous demanderons alors si l’homme peut acquérir les connaissances qui lui sont transmises par sa culture sans subir les contraintes des normes et des limites qui la définissent ,mais aussi si il est possible d'élargir les limites de sa culture sans en perdre l’identité propre. Ou tout simplement si la culture rend-elle l'homme plus libre.

Dans un premier temps nous verrons en quoi la culture nous libère de notre déterminisme naturel et ce par comparaison avec la condition animale, dans un second temps en quoi toute culture oriente et détermine l’individu dans son mode de vie et de pensée et troisièmement nous nous demanderons si il est possible ou si il faut se libérer de sa culture .

Rappele de l’origine animale de l’espèce humaine, fruit de l’évolution naturelle des espèces. Certes l’homme = un organisme vivant, pris, pour une part, dans le déterminisme naturel = son corps obéit aux lois de la physique et de la biologie.

En effet, l'homme est le fruit de l'évolution naturelle des espèces. Il appartient à une espèce bien