La déchéance de gervaise
La longue déchéance de Gervaise
Chapitre VI:
Dans ce chapitre, Gervaise va commencer à s’endetter auprès des Goujets.
p.212 « elle a du courir chez les Goujet et leur emprunter son loyer » « Une autre fois pour payer ses ouvrières » p.214 « Madame Goujet, dit elle enfin, si ça ne vous faisait rien, je prendrais l’argent du blanchissage ce mois-ci » On a l’impression que Gervaise s’est embarquée dans une spirale sans fin.
Quant à Coupeau, il aggrave son ivrognerie à l’Assomoir. P232 « elle crut reconnaitre Coupeau dans l’Assomoir… C’était bien Coupeau qui se jetait son petit verre de schnick » En voyant son mari ainsi, Gervaise est désespérée « toute son epouvante de l’eau-de-vie la reprenait ». On observera aussi qu’elle va employer des injures afin qu’elle puisse exprimer ce qu’elle ressent, on observera aussi ses métaphores faites sur l’alcool.
« les alcools, au contraire, étaient des saletés, des poisons qui ôtaient à l’ouvrier le gout du pain. Ah! Le gouvernement aurait bien du empêcher la fabrications de ces cochonneries »
Chapitre VII:
Dans ce chapitre, c’est jour de fête chez Gervaise, on peut voir les signes de l’aisance de celle-ci, malgré ses dettes vu au chapitre précédent. Elle veut montrer sa supériorité face aux Lorilleux. P242 « Depuis quinze jours, c’était le rêve des Coupeau: écraser les Lorilleux » Cette phrase souligne parfaitement la rivalité entre ces deux familles.
Gervaise met tout en œuvre afin de les rendre jaloux, avec ses multitudes de plats, notamment avec cette fameuse « oie rôtie » , la table correctement préparé par ses soins.
Mais à sa grande surprise, Lantier en profite pour faire son retour. Cela va mener la première étape de la chute de Gervaise.
Il y avait une personne qui manqué à l’appel pendant le repas : Coupeau qui est allé boire à l’Assomoir. P251 « Enfin, au bas de la rue, ils découvrirent Coupeau et Poisson dans l’Assomoir de père Colombe » Cela affectera le statut social de Gervaise