La décolonisation et la politique intérieure française (45-62)
- classe politique divisée : dans les majorités succesives certains veulent une po d'autres en veulent une autre : 53---55 ! démission de Mendès France pas d'accord, Savary au mois de juillet
- décolonisation facteur de division dans l'opinion dans les partis et dans la direction du pays. Rares sont les partis unanimes : PC pour la décolo... INtellectuel Raymond Aron plutôt à droite, pour l'indépendance des colonies. A l'intérieur des partis, à l'intérieur de l'opinion publique mais aussi divisions centrales, hexagonales : administration pour le maintien sur place, armée qui souhaite rester en Algérie... L'opinion publique joue un rôle important, les intellectuels qui signent des manifestes pour ou contre la guerre d'Algérie. Finalement le peuple français est amené à se prononcer : janvier 61 et avril 62.
- les partis outre mer se battent pour l'indépendance : Maroc, Algérie, Tunisie, Vietnam.
- Idée qui consiste à considérer que les colo : passé et qu'il faut orienter la politique d'influence vers l'Europe.
- En 1953, FM déjà ministre, quitte le gvmt parce qu'il n'est pas d'accord avec la politique répressive au Maroc. 1956 : démission de Mendès et de Savary. Mais du temps de de Gaulle des députés gaullistes vont quitter le parti et vont rentrer dans une opposition terrible au parti gaulliste : entrent dans l'OAS. Commence dès octobre 1959 9 députés sont partis, leader Gaulliste SOUSTELLE qui passe à l'opsitionalors qu'il fut secrétaire gén du RPF. Fait partie des gens qu'il faut voter NON en 1961. Georges BIdault, ancien patron du CNR, leader du MRP, chef du gvmt sous la IVe, en 1959 il se sépare de DG et devient un partisan de l'Algérie ffrnaçaise, il a créé un nouveau CNR.
- Décolonisation " àla mode" puisque soutenue par les deux grands et à l'oNU les partisans de la décolonisation se font entendre encore plus après Bandung en 1955. Mais en France pendant longtemps on est attaché à