La faillite de la Grèce. Tous les matins je me lève à l’heure de l’actualité par un verset de plus sur l’origine du mal qui saisit ce berceau de la philosophie moderne et je ne me fais pas à l’idée que les enfants de Socrate regarde toujours le mur de la caverne sans saisir que la réalité simple que leur sauveur de la communauté économique européenne n’ont pas mis 5 minutes à comprendre bien qu’ils aient mis des années à le dissimuler et je reprend le cours de mes rêves de jeunesse et me récite inlassablement le conte de La Fontaine sur la cigale et la fourmi si frugale qu’elle devait parler allemand comme la voie de la raison kantienne nous ramenant à la réalité implacable et aux raisonnements historique hégéliens sur la répétition de l’histoire et les discours progressiste mais qu’est donc cela qui nous dérange et vient nous rappeler nos discours chrétiens sur la réserve et l’humilité qui nous ont culpabilisé des générations jusqu’à moi qui au fond de mon lit à peine les yeux ouverts n’ose pas les ouvrir tellement la réalité à des kilomètres de mon existence risque d’affecter mon quotidien dans ce grand village global qui fait que quand mon voisin pisse l’odeur vient nous agresser sans que l’on ne puisse l’éviter ce qui est en fait le but du jeu éviter pour survivre et s’assurer inlassablement que c’est mon voisin qui ramasse leurs dégâts et soit taxé pour leurs abus comme ce fameux film que j’adore où un enfant donne au suivant sauf la réalité est que ce que l’on donne au suivant n’est quelques fois que le fruit de son irresponsabilité et le lègue à la génération suivante camouflé sur du papier commercial soigneusement coté par un intermédiaire qui a rien à foutre que de faire plaisir à ses grands pirates capitalistes qui nous ont enrobé leurs merdes dans du

papier de soie et fourguées à grand prix ce qui me fait surgir de mon lit en découvrant l’origine de l’expression cadeau de grec mais est-ce que la vie est circulaire et doit toujours comme une spirale