La fameuse nuit de zoé
Dans une ville tranquille et paisible, où chaque personne bénéficiait d’un niveau de culture élevé et d’un bon métier et où tout allait presque bien, vivaient les Rigaldini, une famille normalement très joyeuse, mais trois jours auparavant, la mère avait été tuée. Depuis cette tragédie, plus aucun membre de cette famille ne rigolait ou ne souriait. Dans la maison des Rigaldini qui était au bout de la ville Schrubadala, le père travaillait, dans son garage, sur un nouveau projet : « les maisons volantes ». Il ne lui manquait plus que de l’essayer. De l’autre côté de la ville, dans l’école R.D. (recherche diverse), dans le secteur « Recherche sur les nouveaux êtres vivants » était assis Julien Rigaldini, un des enfants. Il avait eu 14 ans, une semaine auparavant. Et Zoé elle, la petite dernière se trouvait dans une école très stricte sur les règles.
Un matin, Julien se leva très tôt pour avoir bien le temps de se préparer tranquillement. Personne n’était encore debout, il faisait encore nuit dehors, mais quand il voulut préparer son thé, il vit que le tableau des chambres n’indiquait pas seulement que sa chambre était vide mais aussi celle de sa sœur ! « Où était-elle ? » pensa-t-il. Il prit directement sa veste et monta dans sa bulle volante. A cet instant-là, il remarqua que celle de son père n’était plus là. Pris par la panique, il ordonna à sa bulle de faire le tour de la ville. Par les vitres transparentes, il aperçut dans un coin une petite fille qui pleurait, à côté de la bulle de son père ; c’était Zoé !!! - Julien ! cria Zoé. - Zoé que fais-tu ici ? Pourquoi t’es-tu enfuie ? Pourquoi pleures-tu ? questionna Julien. - Julien, je ne sais pas comment j’ai atterri ici, mais quand je me suis réveillée, je me trouvais là et j’ai entendu quelqu’un me gronder « Petite ! arrêtes de me taper ! Je vais te dénoncer ! » Julien qui n’en croyait pas ses oreilles, ne répondit pas. - Julien, je…je…vais mourir ? c’est cela