la femme japonaise
C'est en 1600 que un pouvoir tyrannique et militaire se met en place; les droits des femmes s'anéantissent.
Elles ont désormais une position inférieur et sont dominées par les hommes.
En 1868 c'est la révolution Meiji , une oeuvre pour faire en sorte que les femmes aient plus de droits mais en 1880 la situation s'empire et elles sont "emprisonnées" par leurs maris et dépendantes des hommes mais doivent tout de même rester de bonnes épouses.
En 1922, elles sont interdites de politique.
Mais en 1945, elles obtiennent le droit de vote ( tout comme pour la France ), la mixité dans l'éducation, l'égalité des sexes et l'avortement en cas de dangers de mort.
En 1970/80, une association se met en place pour leurs droits légitimes comme par exemple l'homosexualité chez les femmes. Il y a également une lutte importante contre le sexisme .
La femme et le mariage Au Japon le mariage est un acte très important car c'est un rite de passage mais il diminue quand même de plus en plus car la jeunesse le rejette.
Lorsqu'elle se marie, la femme japonaise doit arrêter de travailler et doit s'occuper de la vie familiale.
Elles ont une grande pression de la part de leur mère si a 25 ans elles ne sont toujours pas mariées.
Dans ce cas, la famille organise un mariage arrangé ( c'est le cas pour 15% des familles au Japon ).
Toute la famille se mobilise car sinon c'est un déshonneur.
De 25 à 29 ans il y a 54% de célibataire.
Le gouvernement s'inquiète car il y a une répercussion sur la natalité. Leur taux de natalité, très bas, est de 1,3 alors qu'en France il est de 2.
71,3 % des célibataires ne veulent pas d'enfants.
Deux mentalités s'opposent. Chacune est fière de son statut.
De célèbres auteurs cherchent a dédramatiser cette situation comme par exemple Junko Sakai.
En 2003, 23% des mariages divorcent c'est à dire un mariage sur quatre. Les principaux facteurs sont l'adultère, l'incompatibilité des caractères, la violence conjugale