La femme
Hommage au courage de toutes ces femmes à la conquête de leur autonomie et de leur liberté !
La femme malgré son rôle important de la maternité, du maintien de ménage, de l’éducation des enfants etc.. n'avait aucun droit ni pouvoir du fait qu’elle était considérée comme étant une marchandise qu'on achetait pour faire des enfants.
Le mari pouvait la brutaliser comme bon lui semblait. Il pouvait aussi la répudier pour la moindre faute. La femme ne pouvait même pas franchir le seuil de sa maison ni même regarder par la fenêtre.
La femme n’était pas libre de consentir seule au mariage, quel que soit son âge (obligation de la présence du tuteur) ; elle ne pouvait pas divorcer que dans des conditions très restrictives.
Elle ne pouvait pas non plus empêcher son mari de se marier avec d’autres femmes.
Le père seul exerçait la tutelle sur les enfants.
La femme était privée de tout droit que ce soit juridique, économique, politique ou social !
La femme, dans le passé, n’avait aucune autonomie et devait rester à la maison et apprendre à cuisiner, coudre et faire le ménage.
La broderie était considérée autrefois comme une base incontournable à l'éducation des filles. C’était un travail minutieux, axé sur la précision.
Cet art était transmis de mère en fille. Chacune gardait les secrets de l'art comme elle gardait l'héritage des ancêtres, dans des tiroirs. La valeur de l'oeuvre était associée à la précision et le savoir-faire de la personne.
La femme d’autrefois, prisonnière des murs et n’ayant aucune instruction était réduite à néant.
Elle ne pouvait être indépendante vu son ignorance totale de la vie extérieure.
La femme était à la merci de l’homme, à son tempérament et à sa guise.
Bref, elle était inexistante et n’avait aucune place dans la société.