La flexibilité du travail peut favoriser l’emploi, mais existe t-il des limites de cette relation ?
La flexibilité du travail est la capacité d'une entreprise à s'adapter aux évolutions de sa demande et de son environnement.
Un emploi est un contrat passé entre l’employeur et le salarié, pour la réalisation d’un travail contre une rémunération
Certes la flexibilité du travail peut favoriser l’emploi, mais existe t-il des limites de cette relation ?
Dans un premier temps nous montrerons que la flexibilité du travail peut favoriser l’emploi puis nous nous pencherons vers l’étude des limites de cette relation
On peut constater qu’ils existent quatre formes de flexibilité : La flexibilité quantitative consiste à adapter les effectifs de l’entreprise aux variations de la demande, soit en recourant au marché du travail (flexibilité quantitative externe tel que le recours aux CDD), soit en jouant sur les horaires du personnel de l’entreprise (flexibilité quantitative interne) dont une des illustrations pourrait être le recours à des heures supplémentaires. La flexibilité qualitative consiste à améliorer la réactivité des travailleurs, en améliorant leur niveau de qualification ou en ayant recours à des salariés polyvalents La flexibilité salariale par l’adaptation des niveaux de rémunération aux résultats de l’entreprise
(Primes aux rendements) L’externalisation s’appuie par exemple sur la sous-traitance
Pour l’analyse libérale la flexibilité favorise l’emploi par la baisse du coût du travail, favorise les profits, qui, à leur tour, incitent à produire, à investir, donc à embaucher, et enfin la baisse des coûts entraîne la baisse des prix, ce qui stimule la consommation.
Certes la flexibilité du travail favoriser l’emploi, mais il existe des limites de cette relation
Il n’existe pas de corrélation entre le taux de chômage et la proportion de salariés ayant un contrat à durée déterminée car on constate qu’avec un même taux de