La flexibilité permet-elle d’améliorer l’emploi?
Dans cette dernière sous partie, nous allons nous demander comment la flexibilité pourrait permettre de réduire le chômage. Nous verrons pour cela qu’il existe différents types de flexibilités, et que si l’entreprise a besoin de souplesse les travailleurs ont eux besoin de sécurité. La flexibilité est la capacité pour une entreprise à s’adapter plus ou moins rapidement aux variations de la demande. D’autre part la flexibilité de l’emploi permet aux entreprises d’ajuster la quantité de travail dont elles ont besoin soit en faisant varier les heures de travail : c’est la flexibilité interne quantitatif et la nature des taches à effectuer : c’est la flexibilité interne qualitative ou bien en ne recrutant que le nombre de salarié nécessaire : c’est la flexibilité externe. (Document 19 page 125). En France selon l’INSEE le nombre d’emploi salariés s’élevait a 22, 235 millions. Le nombre de salariés en emploi précaire s’élevait a 3, 031 millions, et a temps partiel : 3,993 millions. Il s’agit donc d’une flexibilité externe. Mécaniquement il semblerait que le partage du travail soit créateur d’emploi, ce qui permettrait une baisse du chômage mais?. Ce fut le cas des 35 heures de 1998 à 2000. Cependant 29 % des CDI temps partiels subissent cette situation. Selon le document 2 page 127, une embauche durable est risquée par un entreprise en cas de mauvaise conjoncture, car elle devrait licencier, et l’indemnité chômage sera d’autant plus forte si le salarié à travailler longtemps avec son employeur. Néanmoins un emploi stable crée une situation de confiance et de lien social entre l’employeur et le salarié et pousse celui-ci à faire des investissements immatériel (capital humain). Notons que dans une période de changements permanents (mondialisation…) une organisation collective ??? peut être un handicap. En définitif la rigidité du est un inconvénient pour les organisations productives qui demandent d’avantage de