La fontaine
Satyre : Critiquer en s’amusant.
Phèdre à la même morale que la « Génisse, la chèvre… »
Chez Horace il y a un dialogue avec ses enfants, la grenouille veut simplement savoir si elle est aussi grosse qu’un bœuf. La particularité chez ce poème, c’est que la grenouille ne meurt pas, ses petits l’arrêtent.
Chez Phèdre : rivalité sociale, pauvre veut devenir aussi riche que les nobles. On voit cette idée par la morale mit en début du poème. La jalousie apparaît.
Toujours présence du dialogue (un peu) avec les petits, mais folie de la grenouille car elle en vient à exploser. Il y a plus de narration au passé simple. * Ses petits sont inconscients et n’arrivent pas à sauver leur mère.
Martial : Otaulius essaye de faire pareil que Torquatus mais ridiculement vu qu’il n’a pas beaucoup d’argent. Martial à la fin fait référence à la grenouille.
Gradation décroissante chez La Fontaine.
La Fontaine : mixe des trois. Il illustre la morale. La grenouille dialogue (un vrai dialogue) avec sa sœur qui la laisse crever. Grenouille utilise 3phrases/en presque 2(injonctions) / Réplique de la sœur 2-3syllabes « point du tout » /3syllabes de la grenouille qui n’a presque plus de respiration. Critique de Jean de La Fontaine « Pécore » : prétentieuse, superficielle. Le sifflore « chétive pécore s’enfla si bien.. » = respiration de la grenouille. Recourt au présent de narration pour nous la décrire. Le dialogue donne l’impression que c’est une scenette (petit passage comique au théâtre). On passe de l’octosyllabe à l’alexandrin pour montrer qu’elle s’enfle (comique) lorsque c’est La Fontaine qui parle : octosyllabe. Il supprime les repères spatio-temporels et passe directement à l’action pour rentrer au vif du sujet : il réduit la narration à son état le plus sec pour nous la mettre sous le nez. * In medias res : lorsqu’il reprend la parole à la fin de la fable, il la reprend avec humour : litote on ne dit pas qu’elle est