« La force, la violence peuvent quelque chose, mais pas toujours tout »
Montaigne
Cette citation nous amène à beaucoup réfléchir sur la question ; la force et la violence sont-elles indispensables pour arriver à ses fins ? Devons-nous rester pacifiques face à certaines situations ? Avons-nous tort d’utiliser la violence ? Sommes-nous en droit d’avoir recours à la violence ? Voilà sur quoi va se porter toute la réflexion. La force (du latin fortia) est l’emploi de moyens violents pour contraindre une ou plusieurs personnes, c'est-à-dire le pouvoir ou la capacité de s’imposer ou d’exercer une contrainte. La violence (du latin violencia) est le caractère de ce qui se manifeste, se produit ou produit ses effets avec une force intense, extrême, brutale. Tout exprime la totalité.
Tout d’abord, il est parfois vital de répondre par la violence à un acte de violence comme les viols, les meurtres et les agressions. Ces actes ont des conséquences dramatiques et la seule réaction à ces actes sont nécessairement et inévitablement violents. Par conséquent dans ce cas, nous pouvons bien dire que la violence et la force peuvent tout. L’instinct de survie est fort et peut obliger à des actes violents.
Par ailleurs, pour s’échapper des camps de concentration, certains juifs ont dû faire usage de la violence pour ne pas mourir.
Ensuite, La Première et la Deuxième Guerre Mondiale sont la conséquence de la volonté des Allemands de s’agrandir et d’avoir une hégémonie sur une grande partie de l’Europe. C’était se soumettre ou combattre pour son indépendance et son intégrité, donc user de violence. Cela a permis à l’Europe d’être ce qu’elle est aujourd’hui.
Citons également, le génocide rwandais (800 000 morts sur 100 jours) qui n’a eu de fin que grâce à l’intervention des forces armées onusiennes.
Par contre, il y a quelques années, Sarah Lemaire avait giflé Tatiana pendant un cours d’anglais, celle-ci s’est défendue et cette histoire a dégénéré. Au final, elles ont été toutes