La fragile prospérité des années 20
Il faut bien partir du constat/ du bilan : déclin économique de l’Europe. Situation de l’Europe n’est sans commune mesure avec la réalité de sa puiss avant 14 : essoufflement d’autant plus prononcé si on le compare au dynamisme affiché des nouvelles nations ind : Canada, Japon, EU.
Puissance étasunienne en 19 a ses racines dans ce long 19ème siècle : déjà la première puiss ind avant 14 ce sont les EU (1900 : 1ère en termes de production). La 1GM accélère cette rupture, cette évolution.
L’instabilité monétaire : pilier de la croiss éco avant 14 avec le SMI qui n’avait jamais fonctionné de manière parfaite mais n'avait fonctionné que car fondé sur la livre sterling, qui n’avait jms donné lieu à conf ou traités mais acceptés de tous , donnait très grande stabilité qui se faisait dans le cadre d’une inflation modeste. Stabilité brisée par la 1GM.
I-La question économique, monétaire et sociale durant les années 20
Une courte mais violente crise de reconversion
Ses origines
Les origines : les pays européens manquent de tout (denrées agricoles, matières premières, prod manufacturés) et donc leur reconstruction qui s’opère lentement nécessite de faire appel aux jeunes puissances extra euro en particulier les EU.
Dans la continuité directe du conflit la production continue à croitre relativement de manière imp. Et les bénéfices sont très largement réinvestit dans un outillage moderne : l’Europe reconstruit avec un outillage moderne qui permet d’augmenter les rendements. C’est donc un pari d’une croissance qui serait quasiment continue et illimitée. Or, en 1920, cette croissance notamment aux EU qui repose sur une demande intérieure et extérieure va s’essouffler du fait notamment des choix nouveaux de l’administration américaine.
Appel pressant à un apport en provenance des pays neufs : les EU, Brésil, Argentine, Japon. Ce mouvement profite aux exportateurs