La france des trente glorieuses
A la recherche d’un modèle Français : le libéralisme gestionnaire
L’Etat impulse l’élan de la croissance
La France anticipe les recettes : vit à crédit. Après la WW2 l’Etat (se fait entrepreneur) doit investir (notamment secteurs de pointe) pour reconstruire, aide du plan Marshall. Bcp de nationalisations anti capitalistes entre 44 et 46 et la 2e vague concerne les banques et les entreprises (permet de dépasser le « mur de l’argent » auquel se heurtaient les radicaux) domaine énergétique entre 46 et 47. Cohésion nationale (tt le monde participe) et gestion « tripartite » : syndicats, ouvriers et patrons.
L’Etat contrôle le crédit oriente les politiques économiques jusqu’en 68. Indépendance énergétique grâce à l’héritage allemand en Irak puis ELF en 1966 on rivalise enfin avec grandes firmes américaines.
Jean Monnet : père de la planification liée à l’aide Marshall de 1947 à 52 (inspirée du CNR) détermine les secteurs clefs (acier, énergie, transports…). D’autres plans ambitieux pour pbs français dans un nouveau contexte européen 1957. 4e plan plus financier avec concertation économique (entreprises et syndicats.) Providence étatique : salaires en hausse, tarifs déconnectés de la réalité. Crée des impôts comme la TVA renflouer les entreprises déficitaires. L’inflation : On dévalue le franc. Ouverture internationale=choc. Exportations françaises pénalisées. Politique fiscale (impôts, taxes) + politique budgétaire (équilibre ou déficit) + politique monétaire (politique restrictive ou non) boucler le budget de L’Etat.
L’Etat fait le choix du social
Sécurité sociale en 45 : système d’équité intergénérationnelle. Indépendante mais l’Etat oblige (on doit cotiser), renfloue et inspecte. Allocation vieillesse, allongement de l’espérance de vie. Allocations familiales. Plan épargne logement en 60. HLM : 1947. Réaménagement de la France avec la Délégation Aménagement Territoire en 50 puis DATAR en 53. (Contre la ligne de