La gestion de l'eau en israël
LOUIS-PHILIPPE VALIQUETTE
Problèmes Politiques Contemporains
385-123-MO, gr.02
Travail Final
La Gestion de l’Eau en Israël
Travail présenté à
Michel Lauzon
Département des sciences humaines
Collège Montmorency
Le 23 novembre 2011D
Depuis l’implantation d’un état hébreu au Proche-Orient, les tensions entre l’Israël, pays en question, et les états qui y étaient déjà n’ont jamais cessé d’augmenter. Un pays a été créé où il y en avait déjà un, ce fait n’as pu qu’envenimer les relations internationales de la région. Par contre, Israël a été créée sur une source sèche, son territoire ne contient pas assez d’eau pour approvisionner sa propre population. Israël devra donc jouer ses cartes afin d’obtenir cette eau si convoitée auprès de ses voisins, qui se sont déclarés comme ses ennemis.
Nous analyserons cette problématique selon cinq principes de politique internationale. Tout d’abord, la souveraineté (pour nous celle de l’Israël et des pays frontaliers), décrite ici par Carré de Malberg dans sa Contribution à la théorie générale de l’État : «La souveraineté, c'est le caractère suprême d'un pouvoir : suprême, en ce que ce pouvoir n'en admet aucun autre ni au-dessus de lui, ni en concurrence avec lui. Quand donc on dit que l'État est souverain, il faut entendre par là que, dans la sphère où son autorité est appelée à s'exercer, il détient une puissance qui ne relève d'aucun autre pouvoir et qui ne peut être égalée par aucun autre pouvoir.» Ensuite nous utiliserons le principe d’hétérogénéité, «Qui n’a pas d’unité», appliqué aux populations de la région étudiée. Puis, la gouvernance : «les gouvernements nationaux sont maintenant impuissants à réguler un ensemble de phénomènes qui dépassent les frontières nationales.» Ensuite le dilemme de la sécurité : «En s’efforçant d’accroître leur sécurité et en poursuivant la défense de leurs intérêts économiques, les états risquent d’aviver l’insécurité et la riposte militaire de leur voisins.»