Et si la main invisible avait le pouce vert? Aperçu historique sur le développement de « boucles industrielles » dans les économies de marché.
Le réchauffement climatique est un enjeu qui affecte non seulement les individus, mais aussi les entreprises. En effet, ces institutions sont de plus en plus conscientes des bénéfices de leur diminution d’empreintes écologiques. Il y a beaucoup d’actions à entreprendre notamment l’amélioration de la gestion des déchets. Les articles mettent l’emphase sur les avantages économiques et sociaux qu’apporte la conscience environnementale. D’abord, je traiterais l’article « Et si la main invisible avait le pouce vert? Aperçu historique sur le développement de "boucles industrielles" dans les économies de marché » de Pierre Desrochers qui est un professeur associé à l’université de Toronto Mississauga dans le département de géographie. Ses sujets de recherches se spécialisent dans le développement économique, les innovations technologies, puis l’interaction d’environnement commercial. Par la suite, l’article de Corinne Gendron, Andrée De Serres et Lova Ramboarisata intitulé « Services financiers, transformation éthique et environnement » sera analysé. Mme Gendron est professeures à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal et titulaire de la Chaire de responsabilité sociale et de développement durable, Mme. De Serres est chercheure associée et professeure dans la même institution. Puis, Mme Ramboarisata est candidate au doctorat et étudiante chercheure à la Chaire de responsabilité sociale et de développement durable de l’UQAM. Je terminerai avec l’article qui se nomme « Des bâtiments écologiques : un moyen d'améliorer la rentabilité des organisations? » de Jean-Michel Domard un étudiant au HEC et de Paul Lanoie qui est professeur titulaire à la même université. À l’aide de ces trois articles, je tenterais d’identifier le degré d’importance de la gestion des déchets au sein d’une entreprise

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