La guerre des religions
Le futur proche
Le monde d’ici quelques années entre en ébullition.
Le pape est tué lors d’un attentat par un fou du même, ou bien d’un autre Dieu, alors que rien ne le laisse prévoir.
Les démons du Vatican ont encore frappé, ou ce sont ceux d’autres obédiences, le pouvoir n’a pas de couleur, il est comme l’argent, brillant au dehors et terne en dedans.
Le le bon pape est tombé, officiellement fauché par une leucémie foudroyante ou encore une autre maladie ce qui satisfait le questionnement du bon peuple.
La vérité on ne la connaîtra jamais, elle sera enfouie pour toujours dans l’énorme chaudron glauque des arcanes de l’histoire des religions.
Les prélats catholiques crient tout de suite au complot musulman, ce qui permet au nom d’un Dieu soi-disant Amour, que des foyers de guérilla s’allument entre différentes communautés de ces deux obédiences dans le monde.
Les recensements montrent que les chrétiens sont en infériorité numérique, les musulmans ayant grignoté du terrain dans les fiefs chrétiens par une immigration passive aussi efficace que lente.
Les avantages qu’ils y ont obtenus, droit de prière dans des mosquées construites en dur, religion considérée comme religion d’état dans les principaux pays européens, présence accrue de pratiquants dans les armées de ces mêmes pays, ont procédé d’une logique d’invasion que personne n’a osé ni critiquer ni même relever pendant toutes les années de son installation.
Des lois antiracistes soutenues par des idéalistes protégeant de manière très précise les manœuvres de certains groupuscules extrémistes ont sapé lentement, mais sûrement, les fondements démocratiques de la grande Europe, dont le principal défaut est une centralisation à outrance, alors qu’une fédération européenne lui aurait permis de survivre à une telle situation.
Bien sûr, tous les immigrants n’étaient pas des kamikazes.
Mais les cellules accompagnatrices, dirigées par les guerriers du Jihad