La guerre en accusation
En effet, dans le texte de la Bruyère plusieurs procédés littéraire sont mis en avant afin de dénoncer les horreurs de la guerre. L’accumulation des verbes « se dépouiller, se brûler, de se tuer, s’égorger » accentuent l’atrocité des gestes. De plus, on remarque le champ lexical de la mort ou de la perte, « veuve »,
« orphelin », « enlève », « détruire ». L’apostrophe au jeune Soycourt rajoute de la tristesse cela nous rapproche de la réalité. Dans ce texte est aussi évoqué les aspects de l’histoire. On comprend une boucle qui revient sans fin et qui nous laisse croire que la guerre est horrible mais reste une banalité « malheur déplorable, mais ordinaire ! ».
Contrairement au texte précédant, le texte de Damilaville ne parle que du pays en lui-même. Pour cela, il utilise le champ lexical du droit « aux lois la force » « propriété des citoyens », mais également le champ lexical de l’économie « population, agriculture et le commerce ». Dans l’encyclopédie, Damilaville définie la paix par la guerre, il créé une lutte. En effet, les champs lexicaux qui correspondent à la guerre et à la paix sont eux aussi en opposition. Le champ de la maladie se réfère à la guerre « maladie convulsive », « dépeuple » alors que le champ lexical de la santé convient à la paix « vigueur », « la force » . Il y aussi une hyperbole « les triomphes les plus éclatants » pour accentuer sur le faite qu’une guerre est