La honte le survenant
Argument principal 1
Les sentiments et émotions ressentis par les personnages face à la vie sédentaire.
Sous-arguments
1.1 La honte vécue par le Père Didace lorsqu’il se rend compte que son fils n’assurera pas la descendance des Beauchemin.
1.1.1 «Quand il ne sera plus là, l’homme qui fera valoir le nom des Beauchemin, Didace le cherche, mais il ne le voit pas. L’inquiétude lui venait d’abord sourde, vague, de longue main, […] lui donnant l’envie de décrocher le fusil et de se tirer à la jambe.»(p.30).
1.2 Le bonheur ressentis par les habitants de Chenal de Moine lorsque vient le moment de se réunir expliquer par une énumération.
1.2.1 «Des cris, des rires, de grands hélas! Des embrassades, des poignées de main, des vœux, des plaisanteries, […] il y en eut jusqu’à l’heure de la grand’messe.»(p.95).
1.3 Le sentiment de bien-être face à leur environnement.
1.3.1Lorsqu’il regarde le paysage d’où ils viennent, ils sont apaisé : «Incapable d’en détacher ses regards, Venant resta longtemps immobile, ébloui, jusqu’à ce que, pris de vertige, il s’aperçut que la terre brunissait à vue d’œil, à l’approche du soir. »(p.65).
Argument principal 2
La vie sédentaire pour l’habitant de Chenal du moine représente l’accomplissement global de la vie.
2.1 Les gens du village affectionne leur terre, parce qu’elle leur amène à manger.
2.1.1 L’auteure l’amplifie par une énumération : «Toute notre hivernement : notre bois, tu le vois, de la plane des îles, de belle grosseur; la fleur de sarrasin, […] On a tout ce qu’il nous faut.»(p.41).
2.2En demeurant au même endroit les gens sédentaire peuvent se permettent de léguer leurs terres de générations en générations.
2.2.1«Depuis l’arrivée du premier Beauchemin, au Chenal du Moine, six générations auparavant, le fusil de chasse était à l’honneur dans la maison.»(p.66).
2.3 Les remarques négatives qu’on les habitants face à la vie de nomade tel que vit le Survenant.
2.3.1«Parle donc le