La jetée - henri michaux
Le narrateur , un homme etant plutôt agée et ayant l’air malade « le medecin me faisant garder la chambre ».
Une fois arrivé a la mer, il senti l’eau qui le berçait dans une profonde nostalgie « Je regardait la mer, sous moi, qui respirait profondément ». C’est une personnification. Le vieil homme commença à parler de son passé, de sa jeunesse « Et il sortit des richesses en abondance ». il supervisait les autres capitaines, « Il en tirait des capitaines d’autres âges en grand uniforme ».
Celui-ci se rappela des souvenir de l’époque, et bien évidemment se rappela des femmes de sa génération « habillé richement mais comme elles ne s’habillent plus », Et pourtant le vieillard, pêchait et pensait à la vie de chaque être tel un avenir proche mais qui lui filait entre les mains sans qu’il ne puisse rien faire, tel impuissant et désarmé, il laissait passer et repoussait comme si finalement cela n’avait aucune importance. « Et chaque être ou chose qu’il amenait a la surface, il le regardait attentivement avec grand espoir, puis sans dire un mot, tandis que son regard s’éteignait, il poussait ca derrière lui ». Le narrateur nous ramène a la réalité en créant une chute a la dernière ligne et fait référence a lui, sa vie de tout de suite « Quant a moi, grelottant de fièvre, comment je pus regagner mon lit, je me le demande ».
Ainsi le texte est libre comme la mer, il n’y a pas de règles, ni de frontières, nous pouvons parcourir le texte tel un bateau qui navigue sur la