La Langue Mort Vivante Du Canada
Le récensement linguistiques de 2011 de statistiques Canada a suscité plusieurs réactions au sujet de la position qu’occupe les langues. Le Canada est un pays bilingue ayant comme deux langue officiel l’anglais et le français. La culture américaine est très présente dans les médias et même un peu envahissante dans la vie quotidienne des générations prochaines. De ce point, cela ne devrait pas faire sursauter ou alarmer certains que seulement 30 % des canadiens peuvent soutenir une conversation en français et qu’il est très probable qu’ils ne le parlent pas tous très couramment. Cette constante inquiétude de disparition surprise en Amérique qui rode autour de cette langue fait poser des questions critiques sur sa place dans la société canadienne. Mais en réalité ce que beaucoup ne tiennent pas en compte est que lorsque une langue meurt, elle tombe dans le tombeau des oublie avant de faire ses derniers serments aux interlocuteurs.
Le gouvernement a établi il y a de cela longtemps une charte de loi et liberté qui protègent les droits de tous ceux qui veulent parler le français. Plusieurs pointeront le fait que la seule province officiellement bilingue est le NouveauBrunswick. Ils ont raison, par contre des lois sont mis en place du niveau fédérale afin de permettre a tous ceux qui le le réclame des services en français. Donc si on voudrait vivre strictement en français que ce sois en Colombie britannique ou au Manitoba conceptuellement l’idée est possible. Le Québec s’exclut de ses règlements pour s’approprier sa propre façon de vivre qui le rend un endroit pour prospérer et s’épanouir en français. Tout compte fait la survie du français à la dominance de l’ anglais se doit d’une part à ces gens de mentalité «one langue to rule them all». Plusieurs d’autres se figure dans le cercle de fierté comme les acadiens, francoontariens etc. Même si le gouvernement ne voulait pas prendre partie ou même anéantir le