Ici nous sommes en présence d’un essai philosophique de l’auteur et philosophe Emmanuel Kant ayant vécu entre les XVIII et XIXème siècles, dans ce texte il s’interroge entre autres sur la liberté de penser… Cet extrait nous mène à nous poser la question suivante : La liberté de penser nous appartient elle entièrement, que soutient Kant? En un premier temps nous exposerons les idées du philosophe concernant le sujet, en seconde partie nous réfléchirons sur ces idées et discuterons avec un recul la question. Dans son texte, l’auteur nous explique que chaque homme à sa propre liberté de penser, il indique tant bien que la pensée est personnelle, qu’il nous appartient de la manipuler comme bon nous semble. Il nous parle également d’une forme de naturel du contexte, ainsi il soutient le fait que nous sommes tous en possession de cette qualité innée. En effet, Kant qualifie la liberté de penser comme notre «unique trésor» qui fait front aux autres formes de liberté qui peuvent s’avérer nous être ôtées (il nous parle par exemple de la liberté d’expression ou encore de la liberté d’écrire, car les textes et journaux peuvent être censurés). Le philosophe expose la non soumission à d’autres lois, ainsi on entrevoit l’unicité et l’importance individualiste de cette performance qu’à l’homme de pouvoir réfléchir librement. Néanmoins, au-delà de ce que pourrait prétendre l’humain, Kant nous éclaire sur le fait que la pensée d’un être est normalisée. Dès la première phrase de son essai il nous présente l’un des obstacles imposés à cette esprit de liberté: la contrainte civile, en conséquence il est dit qu’elle subit un endoctrinement par une certaine influence externe qui contrarie ce que l’on pourrait