la liberté de penser consiste-t-elle à penser n'importe quoi ?
VAN CAUWELAERT, Didier, « Hors de moi », (livre de poche), Espagne, Albin Michel, 2003, 216 p.
Écriture d’un article d’opinion…
« J'ai tout perdu, sauf la mémoire. Il m'a volé ma femme, mon travail et mon nom. Je suis le seul à savoir qu'il n'est pas moi : j'en suis la preuve vivante. Mais pour combien de temps ? Et qui va me croire ? ». Voilà la quatrième de couverture et un extrait du livre du « hors de moi » de Didier Van Cauwelaert. Un livre dans lequel mon personnage est « Martin Harris » ou plutôt « Steven Lutz ». La personne que j’accuse d’avoir « volé » ma vie se nomme également « Martin Harris », c’est ce qui va créer des confusions tout au long de l’intrigue. Durant la lecture, vous remarquerez que je suis une personne assez sur de moi et prête à tout pour le prouver. En effet, un individu s’est approprié ma vie du moins c’est ce que je croyais après ma sortie du coma ou je suis resté quatre jours à cause d’un accident de taxi. « Je viens de sonner chez moi, et c’est un inconnu qui a répondu… » Ce passage me plait énormément, car après quelques instants mon personnage se pose beaucoup de questions,… mais se retrouve finalement, devant la porte de ce qu’il pense être son appartement où martin Haris, sa femme, ses enfants, ses voisins l’ignorent complètement. Pour prouver qui il est et reprendre sa vie quotidienne il décide de porter plainte. Mais la situation s’aggrave car il n’a pas de papiers contrairement à « l’inconnu ». « L’inconnu sort un passeport qu’il plaque sur la table, et se retourne vers moi avec un regard fermé tandis que le policier le compulse ». En d’autres termes, mon ennemi a encore une fois raison. Ce sont des circonstances, qui, dans l’histoire, me crispent à profusion. Mon personnage va tout de même tenter de prouver qu’il est le vrai « Martin Haris » mais son