La littérature romanesque ou à caractères autobiographique.

Certes, l'enseignement de l'histoire nous transmet des savoirs généraux sur le passé et les différentes cultures qui ont jalonnées les siècles. Toutefois, un large public pense que la littérature romanesque ou à caractère autobiographique permet d'accéder à une connaissance vivante. Dans quelles mesures ce point de vue est il pertinent ? Sur quoi se fondent tout d'abord les connaissances apportées par la littérature ? Comment le déroulement du récit peut-il les rendre plus vivantes ? Enfin la singularité de l'auteur joue-t-elle un rôle ?

La littérature apporte réellement une connaissance grâce au travail de recherche de l’écrivain qui même lui même, au début, ne connaissais pas complètement le sujet sur lequel il envisage d’écrire. Comme nous as expliqué l’auteur d’ « Atelier 62 », Martine Sonnet, quand nous l’avons rencontré. Au début elle ne connaissait rien sur le sujet, car quand cela s’est déroulé, elle était jeune et ne se rendait pas compte a quel point cet histoire était importante. C’est jour où elle a vu l’usine qui allait se faire détruire qu’elle a décidé d’en connaitre plus que le sujet. De plus, ses recherches étaient plus compliquées ; parce qu’elles concernaient son enfance donc des souvenirs lointains, mais elles concernaient aussi l’histoire de l’usine donc également sur de nombreux journaux ou livres. Toutefois, l’auteur en travaillant la réalité arrive aussi a une transmettre une connaissance. Emile Zola Nous le prouve avec le récit « La Beauce » titré de « Carnets d’enquêtes » qui fait la description très détaillé la Beauce, c'est-à-dire d’une région naturelle française. L’objectif de son texte est que l’on puisse découvrir dans les moindres détails comme lorsque l’on regarde une peinture. En nous faisant cette description, l’auteur nous fait connaitre un paysage différent des nôtres et donc nous transmet une connaissance vivante.