La littérature courtoise et la féodalité
Tout d'abord les œuvres courtoises expriment l'idéal chevaleresque, mais elles contiennent une nouvelle valeur : le service amoureux. L'appellation « courtoise » vient du mot « court » qui, en ancien français, désignait la cour seigneuriale. La cour imaginaire du roi Arthur dans les romans de la Table ronde compose par Chrétien de Troyes défini l'idéal des cours réelles : les habitudes raffinées et les beaux usages s'y imposent comme règle. La fidélité à une Dame, l'art de bien parler et la générosité s'opposent aux manières grossières des guerrier. Aussi, les aristocrates, commence à s'orienter vers une littérature plus attentive au coeur et à l'esprit.
Ensuite la littérature courtoise est ancré dans la féodalité car l'amour tel qu'il est décrit s'inspire de la cérémonie de l'hommage et du devoir d'allégeance du vassal envers son suzerain. Comme dans le dialogue courtois entre Yvain et dame Laudine de Chrétien de Troyes ou l'homme devient le serviteur de la femme en échange de son pardon et de son amour.Dans ce cas la dame est placée à la position du seigneur et l'homme au rang de vassale
Au Moyen Âge les premiers romans apparaissent et imitent la hiérarchie féodale. La littérature courtoise illustre la féodalité car elle imite la structure du système féodal. Comment la féodalité était-elle