La lumiere
A travers cette planche, ma démarche se veut le reflet de la lumière puisqu'elle est l'aboutissement qui passe par le dépassement de soi en qualité d'apprenti. Il reste à gravir beaucoup de marches qui m’emmèneront vers la lumière c'est-à-dire la connaissance, mais je continue à tailler ma pierre pour conforter ma place dans la construction de l'édifice.
Pour qu’il y ait initiation, il faut qu’il y ait transmission, cette transmission correspond à l’accès à une autre connaissance : le passage des ténèbres à la lumière. Par delà, le symbole même de la lumière, notre objectif est d’en rechercher la nature et la réalité. C’est le doute et non la certitude qui nous a fait rentrer en Maçonnerie, c’est le doute et non la certitude qui nous oblige à nous dépasser ; mais le doute peut aussi, s’il est trop fort, nous faire perdre le désir du combat vers la lumière et conduire à notre propre destruction.
Je vais ici vous parlez de deux types de lumière. Je ne voudrais pas parler uniquement des trois grandes lumières que l'on découvre quand le bandeau tombe, et qui nous rappelle sans cesse que comme la lumière du soleil vivifie la nature ou, celle de la lune qui illumine la nuit et guide les pas des voyageurs égarés, celle de l'Orient qui répand sa clarté sur les travaux de la loge et qui cultive l'idéal de la maçonnerie.
Lors de l’ouverture de la Loge, le rituel définit les fonctions nécessaires pour que la loge soit éclairée :