La marmite
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Tout c’est fini le jour où je suis tombée dans la marmite de fromage. J’étais surdouée, à l’âge de un an, je savais faire de l’eau pétillante avec seulement un tire-bouchon, de la moutarde et du sparadrap. A deux ans, j’ai inventé le meilleur liquide vaisselle, anti calcaire, anti trace, adoucissant, avec de la grenadine, du savon, et le parfum n°5 de chanel (pour l’odeur)
A deux ans et demi, j’ai inventé un très efficace déboucheur de toilette, avec pour outils, un marteau, une vis, et du jambon de Bayonne.
A quatre ans, pendant ma maternelle, (j’avais bien sur, déjà un niveau supérieur à la terminale, mais mes parents voulaient que je grandisse avec des enfants de mon âge). Je travaillais sur une nouvelle crème pour l’eczéma, j’avais pour composant un parfum, l’eau sauvage de Dior, un rat, et du fromage, beaucoup de fromage.
Je ne savais pas que la queue du rat, plus du parfum et du camembert faisaient une petite explosion bleue, cela ma surpris, je me suis reculée, mais la petite explosion bleue est suivie d’une deuxième explosion, une plus grande, rouge, j’ai pour une nouvelle fois sursautée. Je n’avais pas vu la marmite de reblochon qui se trouvait derrière. J’ai trébuché et je suis tombé dans la marmite, je me suis cogné sur le bord de la cuve à la tête, je suis restée quelques minutes dans la marmite, ma mère ma récupéré, je ne me souvenais de rien et je n’étais plus surdouée,
Tout s’est fini !…
La seule chose qu’il me reste a part cette explication que mon cousin ma apporté sur mon dégout du fromage, est que maintenant, dès que quelqu’un mange du fromage, m’en propose, ou le laisse sur la table, des nausées arrivent, une sensation s’empare de moi, une sensation d’un goût