La modernité
19ème siècle
Siècle des révolutions (qui visent la République).
Littérature engagée (dans la foulé des philosophes des lumières)
Littérature et politique ne sont plus liées comme elles l’étaient avec les Lumières et le Romantisme. Suite à la révolution, l’écrivain se retrouve écartelé entre deux mondes qu’il avait avant fonction d’unir.
Il y a une volonté d’autonomie de la part des écrivains, ils n’écrivent que pour eux.
→Crise du langage, travail sur la forme, art pure et plus social
Représentant : Flaubert
Modernité tardive, essentiellement bourgeois
Il tarde à innover à cause de la domination de la Comédie française qui joue un répertoire classique.
2genres apparaissent :
- Vaudeville
- opérette
La poésie est le genre dominant car elle s’accorde le mieux avec l’idéal moderne de littérature pure (=ce qui ne sert à rien est beau, pas d’activité sociale l’art à juste à être).
Différents courants
- Parnasse (1850-1880)
Ils veulent la perfection de la forme poétique. Thème : mythologie
Lecomte de Liste, Théophile Gautier
- Décadentisme (1878-1886)
Humour // mélancolie
Tristan Corbière, Verlaine, Laforgue
- Symbolisme (1880)
Poètes idéaliste, ne représente pas le réel, pas de travail uniquement sur la forme
Mallarmé, Maeterlinck, Rimbaud, Verlaine
Fin 19ème, début 20ème
Période de transition avec de grands changements (importante prospérité économique, sociale et scientifique). C’est une quinzaine d’années apaisantes, on ne se prend plus la tête et la littérature ne n’entre plus dans les conflits politiques mais le contexte politique est tendu à cause des menaces de guerre.
Belle Epoque
Un homme va révolutionner le roman : Marcel Proust. Il va rompre avec le modèle zolien :
- Il multiplie les points de vue
- Multiplie les facettes d’un personnage
- Réflexion énorme sur le temps
Le roman reste fort naturaliste.
Le théâtre est en