La mondialisation entraîne t-elle une uniformisation des goûts?
1ère partie: Résultats des recherches.(pages 1 à 10)
2ème partie: Avis personnel argumenté.(pages 10 à 11)
Résultats des recherches:
Le terme de mondialisation apparaît pour la 1ère fois dans les années 50, en pleine guerre froide, où l’on redoute l’extension généralisée de l’un des conflits qui ne cessent d’éclater à chaque point du globe. Le sens de ce terme se modifie avec les années 1970, où débute le processus de globalisation économique et financière.
Dans un sens général, la mondialisation est un processus financier, économique, politique et culturel de mise en relation des espaces à l'échelle du monde. La mondialisation c’est donc d’abord l’abolition des distances et la suppression des anciennes frontières de tous ordres (culturelles, économiques, financières, entre les Etats, dans les modes de vie et les mentalités), grâce aux progrès des technologies de l’information, à l’essor des moyens de communication et de transport.
Sous l'effet de la généralisation du libre-échange, l'économie de marché s'est étendue progessivement à l'ensemble du monde au cours du 20ème siècle. Les deux dernières décennies marquent le passage d'une économie internationale à une «éconimie monde», espace dont la régulation échappe en grande partie aux nations.
L'uniformisation elle, est un processus qui tend à donner une forme unique aux différents éléments en faisant disparaître les caréctéristiques distinctives.
On peut alors à juste titre se demander si la mondialisation n'entraîne pas une uniformisation des goûts?
Pour répondre à cette question nous proposons donc plusieurs documents.
Mondialisation et uniformisation:
José Bové s’inscrit dans cette perspective en suscitant la résistance à la « malbouffe ». Cet agriculteur est devenu un des leaders de la résistance à l’extension de la logique marchande et du productivisme qu’elle suppose, et tire sa légitimité de son statut d'agriculteur du