Après la défaite par abandon de l'Union Soviétique dans l'arène idéologique, le monde est devenu un théâtre d'ordres et de désordres1. Rien n'est plus figé, tout bouge. A chaque facteur d'espoir et d'optimisme répond un motif d'inquiétude. Les peuples semblent être saisis d'une série de fièvres somme toute justifiée : enraciner la démocratie pluraliste, mettre fin à la pénurie, accéder à l'abondance... Les rêves Impérialistes paraît bel et bien morts de leur belle mort: il s'agit dorénavant de vivre ensemble grâce aux interdépendances économiques, grâce à l’échange extérieur grâce alors à la mondialisation. La mondialisation c’est ça le point névralgique
Jamais on n'a produit tant de richesses. Jamais les technologies n'ont été aussi développées. Jamais les échanges n'ont été aussi nombreux entre les pays mais avec la mondialisation tout est devenu accessible tout est devenu abordable
La mondialisation est une vague de libéralisation des échanges des investissments et des flux des capitaux ainsi que l’importance croissante de tous ces flux et de la concurrence internationale dans l’économie mondiale
Trois forces motrices ont joué un rôle fondamental dans le processus de mondialisation
La libéralisation des mouvements des capitaux et la déraglementation notamment des services financiers
L’ouverture plus grande des marchés aux échanges et à l’investissment favorisant l’accroissement de la concurrence mondiale
Le rôle central qu’ont joué dans l’activité économique les technologies d’information et de communication.

Les indicateurs de la mondialisation

La mondialisation est un phénomène général qui touche tous les domaines de la vie économique, politique, sociale et culturelle.

Pour étudier l’ampleur du phénomène de la mondialisation et mesurer son intensité, on doit recourir aux indicateurs quantitatifs et qualitatifs.

On distingue donc trois catégories d’indicateurs pour décrire les 4 aspects principaux de la mondialisation :

Les indicateurs