Introduction : les Trente Glorieuses, période phare de croissance a constitué une avancée significative pour l’économie mondiale dont les retombées se font encore sentir aujourd’hui.
En effet, durant cette période, les Etats échangent de plus en plus entre eux, les barrières du protectionnisme tombent pour laisser place à l’ouverture toujours plus croissante des économies et par conséquent au libre échange.
De fait, le libre échange se définit comme l’absence de barrières douanières et non douanières permettant la libre circulation des biens et des services entre les différents états.
Il a longtemps été acclamé par divers économistes comme étant le fer de lance de l’activité économique. Cela nous amène à nous demander si l’accroissement des échanges mondiaux n’a que des conséquences positives sur l’économie ?
Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons dans un premier temps aux différentes théories en faveur du libre échange. Nous montrerons ensuite que cet accroissement des échanges mondiaux connaît de nombreuses limites aujourd’hui.

I. Les arguments en faveur du libre-échange

A. Les différentes théories

a. Les théories classiques

SMITH, RICARDO, HOS

b. Les théories néoclassiques

Mentionner la destruction créatrice : destruction d’emplois venant des importations compensées par les créations résultant des exportations
Avantage du libre-échange : accroissement du pouvoir d’achat des ménages, augmentation de la compétitivité des entreprises grâce à la réalisation d’économies d’échelle, innovation et progrès de la productivité, plus de richesse pour tous

II. Les limites du libre-échange

1. Les limites classiques
Destruction d’emplois : contrer le mécanisme de destruction créatrice sur le plan humain : les emplois recréés ne sont pas forcément la réponse aux emplois détruits
Remplacement de l’homme par la machine
2. Nouvelles limites
Interdépendance des économies, un chômage de plus en plus important qui rend difficile