La moralité de kant et hume
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La question de la moralité d’une action se divise par plus que une conception. Premièrement, la motivation d’agir peut bel et bien être à la base de la moralité d’une action. Pour Hume, la raison est inerte au point de vue motivationnel, et pour lui, la loi morale ne peut pas être conduite par la raison, car nos idées et nos croyances ne peuvent pas motiver à agir. Cela voudrait dire que notre raison découle d’un sentiment ressentis, d’une passion unique a l’individu qui la ressent. Mais le problème est que la raison d’un individu, si elle est inerte peut être mauvaise. Par conséquence, si la morale éveille les sentiments, et que les sentiments sont fondamentalement mauvais, l’action n’est plus considéré morale. Donc, pour Hume, les règles de la moralité ne sont donc pas des conclusions de notre raison. Pour Kant, lui, semble prendre une position plus rationnelle au sujet de la moralité d’une action. Pour lui, la bonne volonté est la seule source de moralité, car elle est gouvernée par le devoir. Kant affirme que c’est la raison pratique qui gouverne l’action et qui doit nous dire quoi faire et non le sentiment en matière de moralité. Ainsi, lorsque la volonté permet de choisir les principes d’un individu, la bonne volonté choisit les bons principes. À ce sujet, malgré que Hume exerce un bon point, la théorie de Kant semble être la plus humaine, et approprié au cas de Suzy. De plus, les fondamentaux d’une décision, est ce qui pourrait permettre d’agir moralement. Pour Hume, qui semble encore fondé sa théorie sur le sentiment, croit que c’est grâce a l’observation des faits par rapport à un fait ou une action, que le jugement moral peut ce faire. Donc, si la personne qui observe, croit fondamentalement en lui que l’action est morale ou non, il fait son choix sur son sentiment propre. Par opposition, pour Kant, afin d’agir de façon morale, l’humain doit se comporter selon un code déontologique. C’est-a-dire de penser rationnellement, avec une bonne volonté face