La mort dans la religion.
Selon le judaïsme, le christianisme et l’islam, la mort est survenue dans l’existence humaine après la faute commise par Adam et Eve…
Les rites funéraires.
-le judaïsme.
Selon le Talmud, mourir des suites d’une maladie et un don du ciel accordé à l’humanité. Elle offre au patient le temps de se repentir avant de se présenter devant Dieu.
Lorsque le décès est pressenti, les soignants infirmeront les proches afin qu’ils se chargent de l’accompagnement spirituel. Au moment de la mort, si personne n’est présent, l’âme se trouverait solitaire et désolée lorsqu’elle quitterait le corps au dernier soupir.
On doit s’abstenir de tout ce qui pourrait influer sur l’état de l’agonisant, éviter tous contacts physiques inutiles et les actes pouvant hâter sa mort
L’euthanasie et le suicide sont considérés comme une fuite de l’homme face à l’épreuve
La famille ne pleurera pas en présence de l’agonisant. Elle n’entreprendra aucun préparatif mortuaire avant le décès. Il faut profiter des bienfaits de la vie jusqu’au jour ou le créateur décide du trépas sans jamais penser au jour de la mort et du devenir de la dépouille. Pour accompagner les derniers instants de vie, les proches liront au chevet de l’agonisant, des psaumes en langue hébraïque uniquement.
Fleurs, plantes, eau de toilette sont sortis de la chambre. Leur parfum viendrait à l’encontre des odeurs fétides dégagées par le cadavre, il serait considéré comme une offense divine.
La toilette rituelle sera confié aux membres de la ‘Hévra Kadicha. Le corps sera veillé nuit et jour jusqu’à la levée du corps et son enterrement. Pendant des heures, les personnes présentes liront en continue le livre des Psaumes au chevet du défunt . selon l’usage, pour que le rite soit consacré, la présence d’un min de 10 homme est requise. Dans la chambre