La mort du loup
Tout au long de la première partie, Alfred de Vigny cherche à comparer le loup à un être humain par une métaphore filée. « Le loup vient et s’assied, les deux jambes dressées », vers 41 ;
Le loup est représenté comme une personne stoïque, courageuse, inébranlable et qui supporte l’adversité avec courage. « Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri », vers 60.
Il ne parle pas directement, mais l’auteur se fait son interprète. Vigny donne un caractère humain au loup afin de faire culpabiliser le chasseur dans la troisième partie, et ainsi montrer son opinion sur les êtres humains.
Le poème La mort du Loup est séparé en trois parties. Elles correspondent chacune à un moment du récit. De Vigny décrit, dans la première partie, la souffrance, puis, le décès du loup. Vers 60
Le second paragraphe, quant à lui, montre la réflexion du chasseur par rapport à la louve et ses petits. Il se rend alors compte que, d’après le loup, l’espèce humaine est sans cœur et qu’elle maltraite et met à son profit de nombreux animaux. Le chasseur, dans la dernière partie, résonne sur ce qu’à voulu lui dire le loup en mourant, c’est-à-dire que le monde est absurde. Il remarque alors la médiocrité des êtres