La mort d’un parfait bilingue

Auteur
Auteur de nouvelles, de romans et d’œuvres pour la jeunesse, l’écrivain belge thomas Gunzig est un homme de médias : il collabore régulièrement avec le journal le Soir et les radios de la RTBF, et publie en outre ses chroniques sur son blog.
Biographie :
Il a d’abord connu une scolarité difficile a cause de sa dyslexie avant d’obtenir une licence de sciences politiques. En 1993, il publie son premier recueil de nouvelles, situation instable penchant vers le mois d’aout.
Après avoir été libraire pendant 10 ans à la librairie Tropismes (Bruxelles), il est devenu professeur de littérature des les écoles supérieurs artistiques de la Cambre et de Saint Luc.
En 2001, Il a reçu le prix Victor Rossel pour son premier roman Mort d'un parfait bilingue et le Prix des Éditeurs en 2003 pour son recueil de nouvelles Le plus petit zoo du monde.

Depuis 2006, il est chroniqueur régulier pour l’émission Le jeu de dictionnaire, le journal le soir et sur la Une avec l’émission les Bureaux du pouvoir.
Depuis avril 2010, il est chroniqueur dans l’émission radio Matin première, ou il dresse un portrait de l’invité du jour.
Thèse du roman :
Pour nous, ce qui est le plus particulier dans ce roman c’est la manière réaliste dont il a été écrit. L’auteur arrive parfaitement à nous faire vivre la dureté et la violence des combats dans lesquelles le narrateur est confronté. Mais aussi de nombreuses pages sont consacrés a son état mental lorsqu’il est paralysé et muet dans son lit d’hôpital. Par la suite, nous voyons la manière d’agir des médias, notamment lorsqu’ les cameramen suivent les soldats jusqu’au cœur de la guerre.
Avec autant de détail et de réalisme, nous ne pouvons qu’être de plus en plus captivés par une histoire qui nous semble vrai.

Résumé du roman :
C’est l’histoire d’un soldat qui se retrouve cloué sur un lit d’hôpital, paralysé et muet. On suppose qu’il a été blessé au combat. On suppose car il va tenter de raviver