Introduction : C’est une évidence, l’eau est un besoin vital pour la survie de chaque être vivant. La planète bleue, est composée d’environ 90% d’eau, mais l’eau disponible pour l’homme, représente seulement 0,5% de l’eau douce de la planète. Il y a en effet 100 fois plus d’eau sous terre que sur terre. 97% de cette eau provient des océans. Le problème c’est que l’eau est plus précisément le niveau des océans baisse d’un mètre par an. Il est donc indispensable de préserver l’eau. Cependant cette eau est inégalement repartie et ne répond pas aux besoins de tous les êtres humains. Cela engendre des conséquences et certaines solutions peuvent être mises en œuvre.

L’eau est mal repartie sur la terre pour plusieurs raisons, certaines régions sont très humides. Elles ont donc beaucoup de réserve en eau et favorise par exemple l’agriculture intensive. D’autres régions sont au contraire très aride, ce sont des zones désertiques ou il tombe moins de 25 cm d’eau par an. Et de plus ce peu d’eau s’évapore. Le climat et la situation géographique influent donc inévitablement sur la répartition de l’eau.
Les pays les plus développés et industrialisés peuvent grâce à des infrastructures adaptées accéder à l’eau. Ce sont des pays riches. Cependant le niveau social des personnes (revenus, logement …) permet aux personnes d’accéder à l’eau dans des conditions plus ou moins bonnes.

Ce manque d’eau a des conséquences au niveau de l’agriculture et cause même il disparition de certains végétaux. En effet dans ces régions-là, ils ne peuvent pas produire les produits qu’ils veulent. Ils doivent s’adapter. Par exemple au Mali, les hommes cultivent l’oignon car ils savent quantifier les besoins en eau de ce légume. Ils rationnent et économisent au mieux l’eau guidée par un chef de l’eau. Ils ont droit à 50 calebasses par famille et par jour. Dans les foyers cette même eau peut servir une première fois pour faire la vaisselle et une seconde à laver par terre par exemple.