La méthodologie du témoignage
La 4ème partie de l’article est intitulée « l’histoire orale à l’épreuve des mondes académiques » où l’auteur critique le caractère subjective et et dégage les limitations de l’utilisation de l’histoire orale.
L’auteur montre que l’histoire orale (branche développé aux annés 1960-1970) a souffert un retournement d’attitude, à la fin des années 1980- début des années1990. Elle l’accuse d’être très subjective dans le sens où l’intérrogation des témoins se baserait sur leurs mémoires. Autrement dit, ils raconteraient les faits selon leur perspective. Un argument contraire à ceux qui pensaient, aux années 1970, recueillir un témoignage basé sur une réalité objective.
Cependant, Paul Thompson (la cheville ouvrière de la construction du mouv.international de la parole des gens) est contraint au changement d’opinion. Il se montre plutôt défenseur de cette subjectivité laquelle posse à explorer d’autres champs en histoire. Et en 1990, il a montré le realisme attaché à l’histoire orale dans la production de la connaissance exacte. Également, il a affirmé que la réconstitution du passé de quelqu’un est une affaire passionnante car je cite : « nous nous trouvons à explorer un territoire inter-disciplinaire … il faut compter les anthoropologues, les psychanalystes, les historiens… ». Un mouv. surtout vérifié aux EUA.
Dans un plan inverse, Alexander Von Plato, trésorier de l’Association International d’histoire orale, remarque, en 1998, l’existence d’un mouv.défenseur de ce subjectivisme qui a eu lieu en dehors des EUA. Une histoire construite par et pour le peuple qui fait de l’homme le centre de son objet.
Hélène Wallenborn souligne également que l’enseignement universitaire actuellement abord les sources orales de 2 manières différentes : -une partie intéressée au subjectivisme des sources
-une autre partie qui tente de délimiter leurs limitations.
En fait, depuis les années