La nature contre la race humaine
Cher docteur,
Je me permets de vous écrire car je ne vois qu’un professeur en psychiatrie aussi renommé que vos l’êtes pour m’aider.
Hier, je suis allé voir mon ami qui est interné actuellement dans un hôpital psychiatrique, car les médecins l’ont cru fou et l’on accusé de meurtre. Il ma raconté l’histoire qu’il avait vécue et je suis sure que celle-ci est bien réelle.
Je vais vous la racontez afin que vous puissiez vous en faire votre propre opinion. Si par la suite vous vouliez bien me répondre, peut être que votre avis pourrait l’aider.
Tout a commencé il ya deux mois. Par un beau dimanche de fin d’été, mon ami, sa compagne et leur chien se promenait en forêt comme ils le faisaient jusque là tout les dimanches lorsque le temps le permettait. Il faut bien reconnaître que cette forêt est particulièrement épaisse et sombre, et que les petits sentiers qui la traversent sont si nombreux que l’on peut si perdre très facilement.
Quand ils se baladaient en forêt la compagne de mon ami appréciait beaucoup aller courir avec le chien très fréquemment, mon ami quant à lui préférait plutôt regarder la nature, il s’intéressait particulièrement à la flore.
Soudain, au cours de la dernière promenade qu’il a faite avec sa compagne…
Le ciel s’assombrit d’un coup, les feuilles des arbres tombèrent, de crevasses se formèrent au sol, les animaux effrayés se cachèrent. Toutefois ces événements ne le préoccupèrent guère. Il continua sa promenade car il pensa, d’après ce qu’il me raconta par la suite que se n’était qu’une simple tempête violente et brève comme il peut y’en avoir en été.
C’est à ce moment là qu’il s’aperçut que sa compagne et leur chien avaient disparu.
Il continua à marcher, le ciel s’assombrie de plus en plus, la nature se détériorait et cela donnait l’impression qu’un séisme était proche.
En passant près d’un noyer, une avalanche de noix tomba sur lui. Il courut se réfugier sous un noisetier et là une autre