"La nature" de john stuart mill
J.Mill énonce une première thèse selon laquelle la nature étant parfaite depuis ses origines, l’action humaine se verrait être inutile, voir même dégrader cet équilibre parfait : « Si le cours naturel des choses était parfaitement bon et satisfaisant, toute action serait une ingérence inutile qui, ne pouvant améliorer les choses, ne pourrait que les rendre pires. » (l.1-2). La nature a été créée de manière à respecter un équilibre naturel et on peut constater que l’action humaine ne fait que gêner voir dégrader cet équilibre par ses constructions, ses édifices et ses inventions qui font progresser peu à peu l’extinction de ce monde « parfait