La nausée
Jean Paul Sartre est un écrivain et grand philosophe français du XIXème siècle. Très connu pour son œuvre « La nausée » et sa philosophie sur l’existentialisme. Il publie « La Nausée » en 1938, un roman philosophique et autobiographique, elle fut la source de son succès. Appartenant au mouvement existentialisme.
Dans cette œuvre Roquetin raconte les sentiments qui l’envahissent au fil des jours. À partir de ce moment il va réfléchir sur l’existence en elle-même.
Pour l’extrait étudié (p.174-175) il déjà envahit par la Nausée et une monté de violence arrive en lui.
En quoi ce passage illustre-t-il l’instabilité du personnage ?
Nous allons débuter par l’arrivée de la nausée puis l’excès de violence qui le parcourt.
Tout d’abord on remarque que Roquentin se trouve dans une période où, psychologiquement il a atteint La nausée. On l’aperçoit dès le début lorsqu’il nous dit qu’il ne peut plus parler l.6, comme si quelque chose l’en empêche.
Le fait qu’il parle de l’Autodidacte dans ces cauchemars l.9, on se retrouve vite dans une atmosphère étrange.
La façon dont il mange, il dit qu’il mâche péniblement un morceau de pain, comme si il était bloqué, stoppé, comme pour sa parole l.10.
On voit bien qu’il n’est pas bien, d’ailleurs juste après le moment où il parle des hommes en général de façon asse ironique, il précise qu’il a envie de vomir l.11 ; la nausée l’a envahi l.12.
Il en fait la description et affirme que s’en ai bien une (nausée) l.13 qui l’a secoue dans tous les sens, elle va même lui laisser un arrière-goût de fromage dans la bouche.
À cause de ceci, il ne sait plus ce que dis l’Autodidacte et en entend que des sons. On reste dans le flou, qui est représentatif de la nausée, quand il se demande pourquoi il tient un objet, si c’est bien lui qui le tient l.21 (on se trouve dans la question de l’existentialisme).
A la ligne 29 il affirme une fois de plus qu’il est « possédé » par cette nausée,