Non directivité Rogerienne entre théorie et pratique.
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Réalisé par :
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-Brahim HAZMI
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- Rachid EL MOUTAOUKIL
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-EL HASSAN AIT BOUGERROU
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Encadré par :
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Mr. ELMAOUHAL
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Semestre 5
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2012/2013
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Au fil des années et de l’histoire, L’homme a cherché une méthode miracle qui facilitera l’apprentissage et le transmet du savoir. En effet il a réussi à en trouver cinq, dont la non-directivité occupe une place notoire, étant donnée comme un système révélateur en pédagogie mais la question qui se pointera à l’horizon est : la non-directivité est-elle une méthode efficace dans l’enseignement ?c’est à cette question qu’on va porter des éclaircissements concernant les limites, les enjeux, et les perspectives.

Le terme non-directivité vient de l’équivalent anglais, l’autoformation, l’auto développement, il s’épanouie dans la seconde moitié du XIX e siècle, précisément en 1942,avec son fondateur, le père de l’apprentissage qui a su comment transposer une théorie de la psychologie à l’apprentissage ;Carl Rogers, illustrée par le slogan « il est interdit d’interdire »,en mettant en évidence : la créativité, la socialisation, et la liberté, caractérisée par une panoplie de notion :la congruence, le respect inconditionnel, l’empathie et le fait d’être centré sur l’élève.
Gilbert Longhi, un chercheur et un professeur français, soulignait que la non-directivité avait un point positif sur les étudiants, dans la mesure où elle ne pratique pas une pression autoritaire, en utilisant