La notion de mal
VOTRE EXPOSÉ SELON MOI :
Je vous écris ici comment j’aurais traité l’exposé si c’était moi. En partant du fait que le thème est : La notion de mal dans la tradition ivoirienne. Je parlerai du fait que la société ivoirienne est composée de plusieurs ethnies ayant migré de différents royaumes. De ce fait, cette diversité (on le voit avec la présence de plus de 60 ethnies) donne une différence culturelle d’un groupe ethnique à l’autre. Donc une notion différente du MAL selon les traditions. A partir de là vous comprenez que la notion de MAL, découle de l’organisation de chaque société ethnique. Une femme non excisée c’est mal dans certaine région…alors que chez d’autres non ! Ne pas faire l’initiation en forêt sacrée ou du Pôrô est mal chez certains ethnies…alors que d’autres n’ont même pas de rituels initiatiques. Simplement pour vous dire que le mal découle de l’organisation de la société dont il est question. La notion de mal en pays Sénoufo n’est pas le même chez les Irlandais. Ensuite traité d’une confusion qui est en même temps un point commun à la notion de mal pour tous les peuples : le crime, le vol, le viol, l’adultère,… C’est pourquoi il faudrait peut être partir d’une définition général, philosophique du MAL. Par la suite prendre une société exemple (Baoulé ou Sénoufo ou Yacouba ou ZOULOU SI C’EST L’Afrique), présenter son organisation en bref et par la suite traiter de certaines notions de mal. Faire au même moment des parallélismes en citant d’autres exemples dans d’autres sociétés (peuples, ethnies) sans vraiment rentrer