La nouvelle héloise jj rousseau
Jean-jacques Rousseau aborde un thème particuliers qu'est le désir dans un texte extrait du roman "La nouvelle héloïse". Il nous fait part de sa thèse, il nous soumet l'idée qu'il est préférable d'imaginer et se représenter ses désirs putôt que de les réaliser et etre ainsi confrontés à la réalité qu'il qualifie de décevante. L'auteur nous donne son opinion de base, il définit la nature de l'homme et ses limites pour démontrer qu'il est préférable de "rêver" plutôt que de "réaliser".
Désirer n'est-ce pas réver ? Avons-nous raison de courrir après nos reves les plus chers? Si oui, sommes nous tout a fait satisfaits de ce que nous trouvons? La nature de l'homme ne pousse t'elle pas à désirer encore et toujours de nouvelles choses finalement furtives? Que nous reste t'il de l'assouvissement de nos désirs? Et, quand bien même nous les réalisions tous, ne serait ce pas le début de notre fin? Cela ne conduit t'il pas à l'ennui? Imaginer n'est elle pas la meilleure des choses à faire?
D'après Rousseau, l'homme est un être de désir, le désir etant une tendance qui est devenue consciente d'elle-même et qui est accompagnée de la représentation de son but, pour lui l'être humain est avide et borné de nouvelles choses de sensations et d'extases lorsqu'il dit "En effet, l'homme avide et borné fait pour tout vouloir et peu obtenir". Rousseau pense que l'on est heureux seulement avant d'être heureux, que celui qui n'a plus rien à désirer est perdu. Rousseau prône l'utilisation de l'imagination pour être profondément heureux car elle nous permet de nous rendre présent l'objet de notre désir, l'imagination permet une représentation sensible, l'image est vive et telle que nous la désirons "une force consolante..., qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible". Cette faculté laisse à l'homme une certaine liberté qui l'éloigne de la réalité et le rend ainsi heureux. L'homme peut rester dans