La nuit de valognes, eric emmanuel schmitt, acte iii, scène 3
- Scène importante, ensemble des personnages présents (5femmes réunies + Don Juan + Angelique + Sganarelle)
- On se rend compte que Don Juan à changer, qu'il à vieillit
- ça n'est pas un Don Juan séducteur qui apparait, il ne correspond plus dutout à son image traditionnelle "les épaules basses et le dos rond, les traits tirés" (= didascalie début) déchéance physique
- inquiétude d'Angelique, elle ne veut pas croire à sa perversité, elle l'aime et pense qu'il l'aime en retour et qu'il va l'épouser
- Don Juan semble totalement hors de l'action, il répond de manière brève, ce n'est pas dans ses habitudes, les femmes peuvent faire ce qu'elle veut de lui, Don Juan se résigne, dans le visage d'Angélique il voit le chevallier ce qui n'arrange pas les choses, cela l'abbat d'avantage
- pluriel générique : les femmes contre Don juan "les femmes le regarde sans indulgence" (didascalie). Angelique ne fait pas parties des femmes contre Don Juan, elle prend la défense de Don Juan, elle éprouve de l'empathie pour lui " "Marraine, ce procès est-il bien nécessaire?" l.13, elle est naïve "Mais puisque..." l.15, elle est interrompu sur le verbe "aimer", ce que Angélique ne comprend pas c'est que il ne l'épouse pas parce qu'il l'aime "où avez vous pris qu'il vous aimait ?" l.20 Toutes les femmes après qu'Angélique est dit que Don Juan l'aimait dise quelque chose à propos de lui, qui explique qu'il n'aime jamais, on sent de la jalousie dans leurs propos. Don Juan est entouré de femmes qui veulent le détruire psychologiquement.
- La religieuse a épousé Dieu, chacune à trouver quelque chose pour survivre et oublier ce que Don Juan lui à fait "Je suis heureuse, moi" l.41 dit Madame Cassin, La Comtesse se moque d'elle "M'étonne pas ! Un idéal d'arrière-boutique, le bonheur, ça vous a des relents de pantoufle et de pot-au-feu" l.42
- On apprend ici que Madame Cassin se singularise, elle n'en veut pas à Don Juan "