La nuit surtout commentaire composé
René Guy Cadou est un poète français, mort le 20 mars 1951, dans la nuit surtout, il décrit ici l'angoisse de la mort. Il y a, tout au long du texte, la marque explicite du poète, une implication personnelle de celui-ci qui se livre et s'abandonne. La multitude de pronoms personnels qui prouvent l'existence, la présence de l’écrivain : « je », « j' », « moi », « m' ». Il raconte sa vie, ce qu’il a ressentit en ces moments précis.
On aperçoit, l’angoisse de cet homme devant la mort, des aspects surtout négatif face à cette mort si proche, mais aussi le soulagement, que la mort l’emporte de cette vie si dure :
A) Ce qu'il trouve de négatif face à la mort si proche :
Tout d’abord, on voit une nette comparaison « Rien ne vivra en moi, comme un moulin qui tourne a vide ». Il se compare à quelque chose d'inerte une fois mort, qui n’est plus rien. Il parle de ce qu’il ne verras plus une fois disparue de l’existence, « De grandes belles filles, des hommes » , il ne pourra pas les voir, il parle de ce qui vont venir après lui qu’il ne pourra point rencontré. Il nous dit « La nuit surtout », il dit qu’il ne rêve pas, il le voit, ce qui va lui arriver, la mort qui va l’emporter « je vois, j’entends, je marche au bord du trou » il a peur. « J’entend gronder », les pierres qui se détachent, des années, il fait référence au temps qui passe, et ce compare à des pierres qui se détachent, comme si son corps se décomposer en morceaux avant de ne plus être là. On trouve aussi une anaphore, avec ce qu’il entend, cela montre son angoisse.
B) Ce qu'il trouve de bien pour se consoler de cette mort qui va l'emporter :
Puis, il trouve quelque petits aspects moins négatif à cette mort qui va l’emporter dans si peu de temps, « Qu'il ne va plus avoir se tremblement ». Il nous explique en quelque sorte que de toute façon il n’y a rien à gagner à rester vivant, il montre que la vie est faite pour mourir, elle n’est pas