La paresse
Le tableau est le dernier élément du corpus, cette œuvre fût peinte en 1860 par Franz Von Lenbach.
Par quels procédés, l'image de la paresse est-elle mise en avant dans ces textes argumentatifs ainsi que dans le tableau ?
Tout d'abord ces textes ont en commun leur titre qui font référence à la paresse comme le montre le titre du texte A « Le Paresseux » ou le texte C « La Paresse ». Aussi, on peut observer dans chacun des textes que l'auteur fait une définition abstraite de la paraisse car il n'arrive pas à mettre des mots dessus, ceci est visible dans le texte B à la ligne 1 « de toutes les passions celle qui est la plus inconnue à nous-mêmes, c'est la paresse », ou dans le texte C à la ligne 3 « il se produit une telle libération de je-ne-sais-quoi ». Les auteurs évoquent aussi dans leurs œuvres le vice de la paresse, comme dans le texte A à la ligne 5 « sans me soucier des guerres d'Italie » , ou dans le texte C à la ligne 13 « c'est pourquoi aussi la paresse est la mère de tous les vices ».
Tous les textes et le tableau montrent que la paresse est reposante comme le montre le texte A à la ligne 10 « que je crois que les biens me viendront en dormant » ou le texte B à la ligne 7-8 « le repos de la paresse est une charme secret », dans le tableau le jeune homme paresseux se repose. Dans tous les textes l'auteur montre l'évasion de la paresse , comme le montre la ligne 2 du texte A « je rêve dans un lit où je suis fagoté » ou dans le texte C à la ligne 2 « quand l'âme quitte le corps, ligne 5 « l'âme s'en va nager » ou dans le tableau où l'on peut observer le jeune homme avec un air rêveur. La paresse est égoïste