La part du e-commerce
Le benchmark complet des marchés en ligne du meuble, de l’électroménager, du textile maison, des arts de la table, des luminaires et autres articles de décoration
Le dynamisme du e-commerce ne se dément pas. Si les arbitrages de consommation des ménages affectent l’équipement de la maison au même titre que beaucoup d’autres postes de dépenses, les ventes réalisées sur Internet sont toujours en forte progression. Ce canal de distribution profite en effet pleinement de son image « bonnes affaires et petits prix » surtout dans le contexte de crise actuel. Sans compter que le dynamisme du Web est également source de créativité et d’initiatives nouvelles : le nombre de sites marchands est en forte hausse et l’offre d’équipement de la maison se démultiplie, parfois sur la base de concepts différenciants (Dezign.fr, Decogalerie.com…). Néanmoins, selon les estimations Precepta, le e-commerce représente encore à peine 7% du marché de l’équipement de la maison. Si ce pourcentage est supérieur à celui qui prévaut sur d’autres marchés, notamment celui de l’équipement de la personne, la marge de progression reste très importante. De fait, tous les opérateurs et en particulier les véadistes traditionnels et certaines enseignes de distribution n’ont pas encore pris la pleine mesure des enjeux liés au web ou éprouvent des difficultés à adapter leur business model à cette nouvelle sphère marchande. L’étude Precepta vous propose une analyse détaillée du positionnement et des stratégies de chacune des grandes catégories d’opérateurs présentes sur le net : Les véadistes traditionnels (La Redoute, 3 Suisses, La Maison de Valérie…) qui traversent une crise sans précédent, les stratégies de conduite du changement n’ayant pas permis une adaptation rapide aux bouleversements suscités par le développement d’une activité internet. Ils conservent néanmoins des positions fortes sur certains segments de marché de l’équipement de la