La partie de carte

L’œuvre à été peinte en c’est une huile sur toile de 129 x 193 cm. Mobilisé en 1914, Léger est sapeur, puis brancardier sur le Front. Dans les conditions extrêmes de la guerre et des tranchées, il poursuit son travail, exécutant de nombreux dessins. Il dessinait aux heures de repos, dans le gourbi et quelques fois dans les tranchées. Certains dessins gardent la trace de la pluie, d’autres sont déchirés, presque tous sont faits sur du gros papier d’emballage. A la guerre Fernand découvre les horreur de la guerre, il est marqué vie. De 1914 à 1918, la première guerre mondiale est une guerre totale c’est-à-dire une guerre qui n’épargne rien ni personne. La durée de la guerre a imposé une mobilisation massive d’hommes entre 20 et 47 ans (soit environ huit millions d’hommes). Le tableau de Fernand Léger est placé dans une perspective qui rappelle les œuvres de Cézanne et Georges de la Tour et montre comment le cubisme a pu permettre la représentation d’une expérience traumatisante sur le front.

Description de l’œuvre

Au premiers plan, on peut voir des personnages ressemblants a des robots, jouant aux cartes, ils ne se démarquent pas beaucoup par rapport au fond, de sorte que l'on peut ne pas les voir distinctement.
Au second plan figure également les mêmes personnages, mais sont moins visible que sur le premier plan.
Et a l'arrière-plan, on voit, ce que l'on peut considérer comme le fond d'une pièce, constitué de formes uniquement géométriques, le plus souvent rectangulaires. Comme sur le sol, où les formes rectangulaires font penser à des escaliers. On retrouve les trois couleurs primaires mais la couleur dominante est le noir et les nuances de gris. Les formes géométriques du tableau ne sont jamais entièrement coloriées d'une même couleur, et le blanc est présent dans chacune d'elle. Aucun détail n'est présent sur les soldats, on dirait plus des robots, des machines qu'autre chose. Ils ne sont constitués que de formes